Jean Emmanuel Gilibert (1745 - 1814) est un naturaliste et médecin français qui a contribué considérablement à l'étude de la botanique.
Il naquit à Paris le 20 novembre 1745 dans une famille modeste, fils d'un tonnelier. Il montra très tôt un goût prononcé pour les sciences et la nature, et réussit à obtenir une bourse de l'Hospice des Quinze-Vingts pour étudier la médecine.
Il devint docteur en médecine en 1768, mais son intérêt grandissait pour la botanique et il publia ses premiers travaux sur le sujet entre 1773 et 1775. En 1775, il est nommé professeur de botanique à l'Hospice des Quinze-Vingts.
En 1784, il fut élu membre de l'Académie Royale de Médecine et en 1793 de la Société Philomathique. Il continua à publier sur la botanique, notamment sur les champignons comestibles, mais aussi sur d'autres sujets comme la chimie ou la physiologie.
Il fut élu député du département de Seine-et-Oise aux États-Généraux de 1789 et siégea à gauche. Il participa à la rédaction du projet de Constitution du 3 septembre 1791 et fut membre de la Convention nationale jusqu'en novembre 1792.
Après son départ de la Convention, il continua ses recherches scientifiques et publia de nombreux ouvrages. Il mourut à Paris le 4 août 1814. Son nom reste associé à l'étude de plusieurs espèces végétales, dont certaines portent son nom (par exemple, la Gilia, une espèce de plante vivace).
Gilibert a laissé une importante héritage scientifique dans le domaine de la botanique et est reconnu pour sa contribution à l'étude des champignons comestibles.
Il naquit à Paris le 20 novembre 1745 dans une famille modeste, fils d'un tonnelier. Il montra très tôt un goût prononcé pour les sciences et la nature, et réussit à obtenir une bourse de l'Hospice des Quinze-Vingts pour étudier la médecine.
Il devint docteur en médecine en 1768, mais son intérêt grandissait pour la botanique et il publia ses premiers travaux sur le sujet entre 1773 et 1775. En 1775, il est nommé professeur de botanique à l'Hospice des Quinze-Vingts.
En 1784, il fut élu membre de l'Académie Royale de Médecine et en 1793 de la Société Philomathique. Il continua à publier sur la botanique, notamment sur les champignons comestibles, mais aussi sur d'autres sujets comme la chimie ou la physiologie.
Il fut élu député du département de Seine-et-Oise aux États-Généraux de 1789 et siégea à gauche. Il participa à la rédaction du projet de Constitution du 3 septembre 1791 et fut membre de la Convention nationale jusqu'en novembre 1792.
Après son départ de la Convention, il continua ses recherches scientifiques et publia de nombreux ouvrages. Il mourut à Paris le 4 août 1814. Son nom reste associé à l'étude de plusieurs espèces végétales, dont certaines portent son nom (par exemple, la Gilia, une espèce de plante vivace).
Gilibert a laissé une importante héritage scientifique dans le domaine de la botanique et est reconnu pour sa contribution à l'étude des champignons comestibles.
