Jean Baptiste Antoine Barthelemy D'Armagnac (1729-1802) était un homme politique et militaire français du XVIIIe siècle. Il est né le 13 juin 1729 à Castelnau-Montratier, dans l'actuelle Gers, en France.
Il entama sa carrière politique en devenant député des États de Guyenne (région actuellement composée du département de la Gironde). Puis il devint intendant de Languedoc, poste qu'il occupa pendant 35 ans, jusqu'à son décès.
Sous le règne de Louis XV, il fut nommé en 1763 maréchal de camp et en 1768 lieutenant général des armées du roi, mais il ne participa pas à aucune bataille ou campagne militaire notable. Il est néanmoins connu pour son rôle dans les affaires politiques internes de la monarchie française.
Sous Louis XVI, il devint un membre important du parti des « aristocrates », mené par le marquis de La Fayette, et s'opposa à la révolution en tant que député aux États généraux de 1789. Après avoir été soupçonné d'avoir conspiré contre la Révolution, il fut incarcéré pendant quelques mois à la prison de la Force avant d'être libéré après une amnistie.
Il mourut le 24 mars 1802 à Paris. Aujourd'hui, sa réputation est plutôt étroite, mais dans son temps, il était considéré comme un des principaux représentants de la noblesse française et de la résistance à la Révolution française.
Il entama sa carrière politique en devenant député des États de Guyenne (région actuellement composée du département de la Gironde). Puis il devint intendant de Languedoc, poste qu'il occupa pendant 35 ans, jusqu'à son décès.
Sous le règne de Louis XV, il fut nommé en 1763 maréchal de camp et en 1768 lieutenant général des armées du roi, mais il ne participa pas à aucune bataille ou campagne militaire notable. Il est néanmoins connu pour son rôle dans les affaires politiques internes de la monarchie française.
Sous Louis XVI, il devint un membre important du parti des « aristocrates », mené par le marquis de La Fayette, et s'opposa à la révolution en tant que député aux États généraux de 1789. Après avoir été soupçonné d'avoir conspiré contre la Révolution, il fut incarcéré pendant quelques mois à la prison de la Force avant d'être libéré après une amnistie.
Il mourut le 24 mars 1802 à Paris. Aujourd'hui, sa réputation est plutôt étroite, mais dans son temps, il était considéré comme un des principaux représentants de la noblesse française et de la résistance à la Révolution française.
