Jean-Baptiste Martin (nom complet inconnu) est un personnage historique né vers 1730 et mort en 1792, connu principalement pour avoir été le facteur d'orgues le plus prolifique de son temps.
Il naquit à Saint-Claude, dans la Haute-Saône, dans une famille de facteurs d'orgues de génération en génération. Son père, Jean Martin, lui apprit le métier et l'initia au dessin des tuyaux, de la menuiserie et des mécanismes de fonctionnement des orgues.
Jean-Baptiste Martin devint rapidement un facteur remarquable pour sa maîtrise exceptionnelle du dessin de tuyaux et son aptitude à reproduire les sons complexes des orgues. Il travailla pour de nombreux églises dans le Jura, la Franche-Comté, la Bourgogne et même jusqu'en Suisse.
En 1762, il réalisa l'orgue de l'église Sainte-Croix de Gray (Doubs), considéré comme son chef-d'œuvre. Cet orgue est un témoin exceptionnel de la technique d'époque.
Il mourut en 1792 à Saint-Claude, laissant une héritage important au monde des facteurs d'orgues et un patrimoine sonore qui subsiste dans de nombreuses églises de Franche-Comté. Son fils Jean-François Martin continua le travail familial jusqu'à sa mort en 1801.
Il naquit à Saint-Claude, dans la Haute-Saône, dans une famille de facteurs d'orgues de génération en génération. Son père, Jean Martin, lui apprit le métier et l'initia au dessin des tuyaux, de la menuiserie et des mécanismes de fonctionnement des orgues.
Jean-Baptiste Martin devint rapidement un facteur remarquable pour sa maîtrise exceptionnelle du dessin de tuyaux et son aptitude à reproduire les sons complexes des orgues. Il travailla pour de nombreux églises dans le Jura, la Franche-Comté, la Bourgogne et même jusqu'en Suisse.
En 1762, il réalisa l'orgue de l'église Sainte-Croix de Gray (Doubs), considéré comme son chef-d'œuvre. Cet orgue est un témoin exceptionnel de la technique d'époque.
Il mourut en 1792 à Saint-Claude, laissant une héritage important au monde des facteurs d'orgues et un patrimoine sonore qui subsiste dans de nombreuses églises de Franche-Comté. Son fils Jean-François Martin continua le travail familial jusqu'à sa mort en 1801.
