Jean Antoine de Baif (1532-1589) est un poète et philologue français de la Renaissance, considéré comme l'un des plus grands représentants de la Pléiade.
Il est né à Orléans le 16 mai 1532 et étudie à Paris où il rencontre Ronsard, avec qui il entame une longue amitié et collaboration littéraire. Il se consacre essentiellement à l'étude des langues anciennes, notamment grecque et hébraïque, et à la philologie classique.
En 1562, il est nommé maître de requête au Parlement de Paris et en 1578, il obtient le poste de secrétaire perpétuel de l'Académie française, qu'il occupera jusqu'à sa mort.
En plus de ses travaux littéraires, Jean Antoine de Baif est connu pour ses écrits philosophiques et théologiques, ainsi que pour avoir contribué à la réforme de l'orthographe française.
Ses principales œuvres poétiques sont le "Livre des miroirs" (1547) et les "Élégies" (1560). Il est également l'auteur d'un traité de rhétorique intitulé "Art poetique" (1583).
Jean Antoine de Baif décède le 29 août 1589. Ses ouvrages ont été réédités plusieurs fois, témoignant de son importance dans la littérature française de la Renaissance.
Il est né à Orléans le 16 mai 1532 et étudie à Paris où il rencontre Ronsard, avec qui il entame une longue amitié et collaboration littéraire. Il se consacre essentiellement à l'étude des langues anciennes, notamment grecque et hébraïque, et à la philologie classique.
En 1562, il est nommé maître de requête au Parlement de Paris et en 1578, il obtient le poste de secrétaire perpétuel de l'Académie française, qu'il occupera jusqu'à sa mort.
En plus de ses travaux littéraires, Jean Antoine de Baif est connu pour ses écrits philosophiques et théologiques, ainsi que pour avoir contribué à la réforme de l'orthographe française.
Ses principales œuvres poétiques sont le "Livre des miroirs" (1547) et les "Élégies" (1560). Il est également l'auteur d'un traité de rhétorique intitulé "Art poetique" (1583).
Jean Antoine de Baif décède le 29 août 1589. Ses ouvrages ont été réédités plusieurs fois, témoignant de son importance dans la littérature française de la Renaissance.
