Jean Antoine Idrac (1763-1842) était un historien, écrivain et homme politique français. Né à Montauban dans le département du Tarn, il est considéré comme l'un des plus grands philologues de la langue occitane.
Après des études à Toulouse et à Paris, Idrac se consacre à l'étude des textes anciens en occitan. Il publie une édition annotée des *Chansons de geste* en 1806, qui est toujours considérée comme un classique.
Il est élu député du Tarn à la Chambre des Députés le 22 germinal an IX (11 avril 1801). Il siège parmi les constitutionnels jusqu'en l'an XII, puis soutient Napoléon Ier lors de son coup d'État du 18 Brumaire.
En 1808, il est nommé membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres. En 1814, il devient membre de l'Institut de France.
Après la chute de Napoléon Ier, Idrac quitte la vie politique pour se consacrer entièrement à ses travaux littéraires. Il publie notamment *L'Histoire des Albigeois* en 1823 et une édition critique du *Roman de Tristan* en 1829.
Jean Antoine Idrac meurt le 7 décembre 1842 à Paris. Ses travaux ont contribué grandement à la renaissance de la littérature occitane et à la reconnaissance de cette langue dans l'ensemble français.
Après des études à Toulouse et à Paris, Idrac se consacre à l'étude des textes anciens en occitan. Il publie une édition annotée des *Chansons de geste* en 1806, qui est toujours considérée comme un classique.
Il est élu député du Tarn à la Chambre des Députés le 22 germinal an IX (11 avril 1801). Il siège parmi les constitutionnels jusqu'en l'an XII, puis soutient Napoléon Ier lors de son coup d'État du 18 Brumaire.
En 1808, il est nommé membre de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres. En 1814, il devient membre de l'Institut de France.
Après la chute de Napoléon Ier, Idrac quitte la vie politique pour se consacrer entièrement à ses travaux littéraires. Il publie notamment *L'Histoire des Albigeois* en 1823 et une édition critique du *Roman de Tristan* en 1829.
Jean Antoine Idrac meurt le 7 décembre 1842 à Paris. Ses travaux ont contribué grandement à la renaissance de la littérature occitane et à la reconnaissance de cette langue dans l'ensemble français.
