Jean Achille Benouville est né le 20 mai 1796 à Caen et mort le 3 août 1854 à Paris. Il fut un historien, philosophe, bibliothécaire de la Bibliothèque nationale de France, homme politique et académicien français.
Il fit ses études au lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l'École normale supérieure. En 1820, il obtint le prix Volney pour son ouvrage intitulé "Essai sur les rapports des peuples anciens avec leurs divinités". Il devint professeur à la Faculté des lettres de Caen en 1823.
De 1824 à 1830, il fut membre du Conseil général de Calvados puis, de 1830 à 1849, député de ce département, tout en continuant sa carrière universitaire et littéraire. Il fut notamment membre de l'Académie française en 1836.
Il est notamment connu pour ses ouvrages "Histoire de la philosophie" (publiée à partir de 1829) et "Histoire des sciences et des lettres" (publiée à partir de 1840). Il travailla également sur l'édition critique de nombreux auteurs classiques.
Jean Achille Benouville mourut le 3 août 1854 à Paris. Sa dépêche nécrologique, publiée par la Société de l'histoire de France, évoqua ses contributions à la philosophie et aux sciences, ainsi qu'à l'histoire des idées politiques et religieuses en général.
Il fit ses études au lycée Louis-le-Grand à Paris puis à l'École normale supérieure. En 1820, il obtint le prix Volney pour son ouvrage intitulé "Essai sur les rapports des peuples anciens avec leurs divinités". Il devint professeur à la Faculté des lettres de Caen en 1823.
De 1824 à 1830, il fut membre du Conseil général de Calvados puis, de 1830 à 1849, député de ce département, tout en continuant sa carrière universitaire et littéraire. Il fut notamment membre de l'Académie française en 1836.
Il est notamment connu pour ses ouvrages "Histoire de la philosophie" (publiée à partir de 1829) et "Histoire des sciences et des lettres" (publiée à partir de 1840). Il travailla également sur l'édition critique de nombreux auteurs classiques.
Jean Achille Benouville mourut le 3 août 1854 à Paris. Sa dépêche nécrologique, publiée par la Société de l'histoire de France, évoqua ses contributions à la philosophie et aux sciences, ainsi qu'à l'histoire des idées politiques et religieuses en général.
