James Barr (né le 29 avril 1938 et décédé le 27 novembre 1994) était un linguiste britannique spécialisé dans l'étude des langues sémitiques. Il est surtout connu pour son livre intitulé "Babylonian Magic and Kesh", publié en 1960, qui étudie les textes magiques babyloniens et assyriens.
Après avoir obtenu son diplôme de première classe à l'université d'Oxford en 1958, James Barr a commencé sa carrière académique en tant que professeur de linguistique sémitique à l'université du Wisconsin-Madison, poste qu'il occupa jusqu'en 1963. Il a ensuite enseigné pendant plusieurs années à l'University College de Londres et à l'université d'Oxford.
James Barr était également connu pour ses controverses avec des linguistes du mouvement néo-évangélique, notamment Kenneth Pike, dont il critiquait les méthodes. Il a publié plusieurs livres critiques sur la théorie linguistique de Pike et a défendu une approche plus historico-comparative dans l'étude des langues.
En 1975, James Barr a reçu la médaille de bronze de la British Academy pour ses contributions à la linguistique sémitique. Il est décédé en novembre 1994 à l'âge de 56 ans, laissant une importante héritage dans le domaine des études sémitiques.
Après avoir obtenu son diplôme de première classe à l'université d'Oxford en 1958, James Barr a commencé sa carrière académique en tant que professeur de linguistique sémitique à l'université du Wisconsin-Madison, poste qu'il occupa jusqu'en 1963. Il a ensuite enseigné pendant plusieurs années à l'University College de Londres et à l'université d'Oxford.
James Barr était également connu pour ses controverses avec des linguistes du mouvement néo-évangélique, notamment Kenneth Pike, dont il critiquait les méthodes. Il a publié plusieurs livres critiques sur la théorie linguistique de Pike et a défendu une approche plus historico-comparative dans l'étude des langues.
En 1975, James Barr a reçu la médaille de bronze de la British Academy pour ses contributions à la linguistique sémitique. Il est décédé en novembre 1994 à l'âge de 56 ans, laissant une importante héritage dans le domaine des études sémitiques.
