Jacques Lazarre Savetier de Candras est né le 29 juin 1753 à Candras, dans le Lot-et-Garonne (France). Il était un médecin militaire français et un héros de la Révolution française.
Après ses études à l'université de Bordeaux, Savetier de Candras commença sa carrière médicale en 1780 comme officier de santé auprès de l'armée royale française. Il participa à la guerre d'indépendance américaine et acquit une réputation d'expertise dans le traitement des maladies tropicales.
En 1792, il fut nommé médecin en chef de l'armée française en Flandre. Cependant, il démissionna en 1793 après avoir refusé d'accepter les ordres de commettre des exécutions sans procès à Nîmes.
En 1794, il fut élu député du Lot-et-Garonne à la Convention nationale française et participa activement aux travaux de cette assemblée législative. Il fut un partisan des droits de l'homme et du citoyen et fit partie des délégués envoyés en mission à Bordeaux pour y rétablir la constitution civile du clergé et mettre fin à la révolte royaliste.
En 1796, il fut nommé médecin en chef de l'armée française en Vendée et participa à la répression des soulèvements contre-révolutionnaires dans cette région. Il fit preuve d'une grande humanité en traitant les blessés de tous bords sans discrimination.
En 1798, il fut envoyé en mission diplomatique à Rome pour négocier le traité de paix entre la France et le Saint-Siège. Il resta à Rome jusqu'en 1802 et occupa divers postes de responsabilité dans les administrations du Directoire et du Consulat français.
Il décéda à Paris le 1er janvier 1834, à l'âge de 81 ans. Sa tombe se trouve au cimetière de Montmartre à Paris.
Après ses études à l'université de Bordeaux, Savetier de Candras commença sa carrière médicale en 1780 comme officier de santé auprès de l'armée royale française. Il participa à la guerre d'indépendance américaine et acquit une réputation d'expertise dans le traitement des maladies tropicales.
En 1792, il fut nommé médecin en chef de l'armée française en Flandre. Cependant, il démissionna en 1793 après avoir refusé d'accepter les ordres de commettre des exécutions sans procès à Nîmes.
En 1794, il fut élu député du Lot-et-Garonne à la Convention nationale française et participa activement aux travaux de cette assemblée législative. Il fut un partisan des droits de l'homme et du citoyen et fit partie des délégués envoyés en mission à Bordeaux pour y rétablir la constitution civile du clergé et mettre fin à la révolte royaliste.
En 1796, il fut nommé médecin en chef de l'armée française en Vendée et participa à la répression des soulèvements contre-révolutionnaires dans cette région. Il fit preuve d'une grande humanité en traitant les blessés de tous bords sans discrimination.
En 1798, il fut envoyé en mission diplomatique à Rome pour négocier le traité de paix entre la France et le Saint-Siège. Il resta à Rome jusqu'en 1802 et occupa divers postes de responsabilité dans les administrations du Directoire et du Consulat français.
Il décéda à Paris le 1er janvier 1834, à l'âge de 81 ans. Sa tombe se trouve au cimetière de Montmartre à Paris.
