ici est présentée la biographie de Jacqueline Delubac :
Jacqueline Delubac, née le 8 novembre 1934 à Lyon et décédée le 27 mai 1980 à Paris, était une journaliste française qui a marqué l'histoire de la presse.
Originaire d'une famille modeste, Jacqueline Delubac a fait des études de lettres à Lyon et à Paris, où elle a obtenu un diplôme de journalisme en 1957. Après une brève période passée dans la presse régionale, elle rejoint le quotidien Le Monde en 1960.
Au sein du quotidien, Jacqueline Delubac a occupé plusieurs postes, notamment rédactrice en chef de la section des sociétés et de la culture, et rédactrice en chef adjointe du supplément littéraire, *Le Monde des livres*. Elle a également collaboré à plusieurs publications périodiques telles que *Les Lettres françaises* et *Nouvel Observateur*.
Jacqueline Delubac est surtout connue pour sa carrière d'investigative journalist, qui l'a conduite à dénoncer de nombreux scandales politiques et sociaux. Elle a notamment contribué à la révélation du scandale des "soldes" en 1964, dans lequel elle a découvert les pratiques de blanchiment d'argent illicite dans l'industrie du cinéma.
En 1968, Jacqueline Delubac est nommée rédactrice en chef de la section politique de *Le Monde*, ce qui la fait intégrer à un cercle restreint de journalistes influents. Elle a notamment couvert les événements de Mai 68 et contribué à une analyse critique des politiques du gouvernement français.
Jacqueline Delubac a également milité pour les droits des femmes et a été membre fondatrice de la Ligue française pour le droit à l'avortement et à la contraception. Elle a été l'une des premières journalistes à dénoncer le sexisme dans le monde de la presse et à défendre l'égalité des sexes.
Jacqueline Delubac a également écrit plusieurs livres, notamment *Le Monde qui tue* (1975), dans lequel elle dénonce les violences policières en France, et *La Dernière Bataille de Jacqueline Delubac* (1980), publié à titre posthume après sa mort due à une crise cardiaque survenue lors d'un reportage.
Jacqueline Delubac a laissé une grande trace dans le journalisme français et est considérée comme l'une des journalistes les plus influentes de son époque. Son œuvre continue de servir de référence pour les journalistes de presse dure qui viennent après elle.
Jacqueline Delubac, née le 8 novembre 1934 à Lyon et décédée le 27 mai 1980 à Paris, était une journaliste française qui a marqué l'histoire de la presse.
Originaire d'une famille modeste, Jacqueline Delubac a fait des études de lettres à Lyon et à Paris, où elle a obtenu un diplôme de journalisme en 1957. Après une brève période passée dans la presse régionale, elle rejoint le quotidien Le Monde en 1960.
Au sein du quotidien, Jacqueline Delubac a occupé plusieurs postes, notamment rédactrice en chef de la section des sociétés et de la culture, et rédactrice en chef adjointe du supplément littéraire, *Le Monde des livres*. Elle a également collaboré à plusieurs publications périodiques telles que *Les Lettres françaises* et *Nouvel Observateur*.
Jacqueline Delubac est surtout connue pour sa carrière d'investigative journalist, qui l'a conduite à dénoncer de nombreux scandales politiques et sociaux. Elle a notamment contribué à la révélation du scandale des "soldes" en 1964, dans lequel elle a découvert les pratiques de blanchiment d'argent illicite dans l'industrie du cinéma.
En 1968, Jacqueline Delubac est nommée rédactrice en chef de la section politique de *Le Monde*, ce qui la fait intégrer à un cercle restreint de journalistes influents. Elle a notamment couvert les événements de Mai 68 et contribué à une analyse critique des politiques du gouvernement français.
Jacqueline Delubac a également milité pour les droits des femmes et a été membre fondatrice de la Ligue française pour le droit à l'avortement et à la contraception. Elle a été l'une des premières journalistes à dénoncer le sexisme dans le monde de la presse et à défendre l'égalité des sexes.
Jacqueline Delubac a également écrit plusieurs livres, notamment *Le Monde qui tue* (1975), dans lequel elle dénonce les violences policières en France, et *La Dernière Bataille de Jacqueline Delubac* (1980), publié à titre posthume après sa mort due à une crise cardiaque survenue lors d'un reportage.
Jacqueline Delubac a laissé une grande trace dans le journalisme français et est considérée comme l'une des journalistes les plus influentes de son époque. Son œuvre continue de servir de référence pour les journalistes de presse dure qui viennent après elle.
