Hope Cooke, née le 25 août 1931 à Kingston (Jamaïque) et décédée le 16 juillet 1984 à Washington D.C., est une poète, essayiste et diplomate jamaïcaine. Elle est connue pour avoir été la première femme noire à occuper un poste de représentante permanente auprès des Nations Unies, qu'elle occupa entre 1975 et 1980.
Issue d'une famille de lettrés, Hope Cooke grandit à Kingston où elle est éduquée dans une école catholique. À l'âge de 16 ans, elle quitte le pays pour poursuivre ses études aux États-Unis à l'Université Columbia et à l'Université Cornell.
Au cours de sa carrière, Hope Cooke publie plusieurs recueils de poésie, notamment *Black Jeans* (1957), *The Pitcher and the Well* (1964) et *A Few Words About Women* (1982). Elle est également l'auteure d'essais sur la politique internationale tels que *Towards a More Just and Durable Peace: A Jamaican Perspective* (1973).
En 1965, elle devient professeur associé à l'Université de l'Indiana, où elle enseigne les relations internationales jusqu'en 1974. Elle est ensuite nommée ambassadrice de Jamaïque aux Nations Unies et occupe ce poste pendant six ans.
En 1980, Hope Cooke quitte son poste pour retourner à la Jamaïque et se consacrer à l'écriture. Elle meurt en juillet 1984 d'un cancer du pancréas. Ses contributions à la littérature, à l'enseignement et aux relations internationales sont toujours reconnues comme significatives dans le monde académique ainsi que dans son pays natal.
Issue d'une famille de lettrés, Hope Cooke grandit à Kingston où elle est éduquée dans une école catholique. À l'âge de 16 ans, elle quitte le pays pour poursuivre ses études aux États-Unis à l'Université Columbia et à l'Université Cornell.
Au cours de sa carrière, Hope Cooke publie plusieurs recueils de poésie, notamment *Black Jeans* (1957), *The Pitcher and the Well* (1964) et *A Few Words About Women* (1982). Elle est également l'auteure d'essais sur la politique internationale tels que *Towards a More Just and Durable Peace: A Jamaican Perspective* (1973).
En 1965, elle devient professeur associé à l'Université de l'Indiana, où elle enseigne les relations internationales jusqu'en 1974. Elle est ensuite nommée ambassadrice de Jamaïque aux Nations Unies et occupe ce poste pendant six ans.
En 1980, Hope Cooke quitte son poste pour retourner à la Jamaïque et se consacrer à l'écriture. Elle meurt en juillet 1984 d'un cancer du pancréas. Ses contributions à la littérature, à l'enseignement et aux relations internationales sont toujours reconnues comme significatives dans le monde académique ainsi que dans son pays natal.
