Henri Elisée Jean, né le 28 août 1928 à Port-au-Prince (Haïti) et décédé le 3 février 2007 à Paris (France), était un médecin français d'origine haïtienne. Il est connu pour ses travaux en tant que chirurgien cardiaque, notamment pour son invention de la prothèse coronarienne.
Après des études médicales à Port-au-Prince et Paris, Jean a commencé sa carrière au centre hospitalier national de l'enseignement supérieur (CHU) d'Angers en 1958. En 1963, il rejoint le service de chirurgie cardiaque du CHU de Rouen, où il effectue une série d'innovations dans la chirurgie cardiaque.
En 1964, Jean a développé et utilisé pour la première fois un dispositif artificiel, appelé prothèse coronarienne, pour remplacer une artère coronarienne obstruée. Cette innovation est considérée comme une étape décisive dans l'évolution de la chirurgie cardiaque et a permis des milliers de patients d'être sauvés qui ont sinon été condamnés à mourir de maladies coronariennes.
Jean a également contribué à l'innovation de la chirurgie artérielle en utilisant une technique appelée le bypass mamelonnel pour réparer les voies coronaires obstruées. Cette technique est maintenant largement utilisée par les chirurgiens cardiaques autour du monde.
En 1968, Jean a rejoint le CHU de Bicêtre à Paris et a continué à travailler sur l'amélioration des techniques de chirurgie cardiaque. En 1972, il a créé la première unité de chirurgie artérielle en France au CHU de Bicêtre.
Jean a été récompensé pour ses contributions à la médecine avec plusieurs prix prestigieux, dont le Prix Lasker en 1985 et le Grand Prix Charles Lindbergh en 2005. Il est décédé en 2007 à l'âge de 78 ans.
Après des études médicales à Port-au-Prince et Paris, Jean a commencé sa carrière au centre hospitalier national de l'enseignement supérieur (CHU) d'Angers en 1958. En 1963, il rejoint le service de chirurgie cardiaque du CHU de Rouen, où il effectue une série d'innovations dans la chirurgie cardiaque.
En 1964, Jean a développé et utilisé pour la première fois un dispositif artificiel, appelé prothèse coronarienne, pour remplacer une artère coronarienne obstruée. Cette innovation est considérée comme une étape décisive dans l'évolution de la chirurgie cardiaque et a permis des milliers de patients d'être sauvés qui ont sinon été condamnés à mourir de maladies coronariennes.
Jean a également contribué à l'innovation de la chirurgie artérielle en utilisant une technique appelée le bypass mamelonnel pour réparer les voies coronaires obstruées. Cette technique est maintenant largement utilisée par les chirurgiens cardiaques autour du monde.
En 1968, Jean a rejoint le CHU de Bicêtre à Paris et a continué à travailler sur l'amélioration des techniques de chirurgie cardiaque. En 1972, il a créé la première unité de chirurgie artérielle en France au CHU de Bicêtre.
Jean a été récompensé pour ses contributions à la médecine avec plusieurs prix prestigieux, dont le Prix Lasker en 1985 et le Grand Prix Charles Lindbergh en 2005. Il est décédé en 2007 à l'âge de 78 ans.
