Habib Bourguiba, connu sous le nom de Habib Ben Ali, est né le 3 janvier 1909 à Monastir en Tunisie. Il est considéré comme le père fondateur de la Tunisie indépendante.
Après des études primaires et secondaires à Monastir et à Tunis, il intègre l'École normale supérieure de la rue d'Ulm à Paris en 1928. Il devient ainsi le premier Tunisien à poursuivre des études supérieures en France.
De retour en Tunisie en 1934, il rejoint les rangs du Parti Destouri et devient son président en 1937. En 1956, il dirige le pays vers l'indépendance après plus de 70 ans de protectorat français. Il est alors élu Premier ministre, poste qu'il conserve jusqu'en 1957.
En 1957, il devient président du Conseil et prend la tête de l'État en tant que président de la République en 1959. Son régime est considéré comme autoritaire, mais il a été reconnu pour avoir modernisé la Tunisie et donné à la femme son indépendance et ses droits civils.
Il reste au pouvoir jusqu'en 1987, année de sa démission à l'âge de 78 ans. Habib Bourguiba est décédé le 3 avril 2000 à Monastir. Il est inhumé avec les honneurs d'État et considéré comme un héroïque symbolique de la Tunisie indépendante.
Après des études primaires et secondaires à Monastir et à Tunis, il intègre l'École normale supérieure de la rue d'Ulm à Paris en 1928. Il devient ainsi le premier Tunisien à poursuivre des études supérieures en France.
De retour en Tunisie en 1934, il rejoint les rangs du Parti Destouri et devient son président en 1937. En 1956, il dirige le pays vers l'indépendance après plus de 70 ans de protectorat français. Il est alors élu Premier ministre, poste qu'il conserve jusqu'en 1957.
En 1957, il devient président du Conseil et prend la tête de l'État en tant que président de la République en 1959. Son régime est considéré comme autoritaire, mais il a été reconnu pour avoir modernisé la Tunisie et donné à la femme son indépendance et ses droits civils.
Il reste au pouvoir jusqu'en 1987, année de sa démission à l'âge de 78 ans. Habib Bourguiba est décédé le 3 avril 2000 à Monastir. Il est inhumé avec les honneurs d'État et considéré comme un héroïque symbolique de la Tunisie indépendante.
