Jean-Marie Guyau est un écrivain et philosophe français né le 26 septembre 1854 à Agen (Lot-et-Garonne) et décédé le 25 juin 1888 à Paris.
Il est connu pour son ouvrage "L'Idéal et l'individu" publié en 1887, où il s'oppose à la philosophie de Nietzsche. Son travail a été marqué par l'influence du positivisme d'Auguste Comte et de l'École de Reims.
Jean-Marie Guyau est également connu pour son engagement dans les mouvements sociaux de son époque, notamment le mouvement ouvrier et le féminisme. Il a travaillé comme journaliste à Paris où il a collaboré avec plusieurs journaux et revues progressistes.
En 1885, il est élu à l'Académie des sciences morales et politiques. En 1886, il est nommé directeur de la revue "Le Mouvement social".
Jean-Marie Guyau a vécu une courte vie mais a laissé un important héritage intellectuel, en particulier dans le domaine de la philosophie morale et de la sociologie. Il est considéré comme l'un des philosophes les plus remarquables du mouvement positiviste français de la fin du XIXe siècle.
Il est connu pour son ouvrage "L'Idéal et l'individu" publié en 1887, où il s'oppose à la philosophie de Nietzsche. Son travail a été marqué par l'influence du positivisme d'Auguste Comte et de l'École de Reims.
Jean-Marie Guyau est également connu pour son engagement dans les mouvements sociaux de son époque, notamment le mouvement ouvrier et le féminisme. Il a travaillé comme journaliste à Paris où il a collaboré avec plusieurs journaux et revues progressistes.
En 1885, il est élu à l'Académie des sciences morales et politiques. En 1886, il est nommé directeur de la revue "Le Mouvement social".
Jean-Marie Guyau a vécu une courte vie mais a laissé un important héritage intellectuel, en particulier dans le domaine de la philosophie morale et de la sociologie. Il est considéré comme l'un des philosophes les plus remarquables du mouvement positiviste français de la fin du XIXe siècle.
