François Dominique Gozzi (né le 24 décembre 1732 à Nice et décédé le 5 février 1806 à Rome) est un écrivain italien, considéré comme l'un des principaux représentants du théâtre italien du XVIIIe siècle.
Il fut surtout actif en France sous le règne de Louis XV où il débute en 1752 au Théâtre-Italien à Paris. Il écrit d'abord des opéras et des comédies, dont "Le Triomphe de l'amour" (1760) est le plus connu. Sa pièce la plus célèbre est sans conteste "Turcaret", adaptée en France par Voltaire sous le titre "L'Épreuve".
En 1763, il retourne à Nice pour se consacrer à l'écriture et publie, entre autres ouvrages, "Les Amours d'une jeune fille à Nice", qui rencontre un grand succès.
En 1770, il rejoint l'Italie pour s'installer définitivement à Rome où il écrit de nombreuses pièces, notamment des tragédies inspirées de la mythologie grecque et romaine. Il est également connu pour ses traductions du théâtre grec ancien, en particulier d'Eschyle et de Sophocle.
Ses œuvres ont été un exemple important pour le renouveau du théâtre italien au XVIIIe siècle, qui a vu la naissance de l'école napolitaine, dont les maîtres sont Giovanni Battista Nicotera et Carlo Goldoni.
Il fut surtout actif en France sous le règne de Louis XV où il débute en 1752 au Théâtre-Italien à Paris. Il écrit d'abord des opéras et des comédies, dont "Le Triomphe de l'amour" (1760) est le plus connu. Sa pièce la plus célèbre est sans conteste "Turcaret", adaptée en France par Voltaire sous le titre "L'Épreuve".
En 1763, il retourne à Nice pour se consacrer à l'écriture et publie, entre autres ouvrages, "Les Amours d'une jeune fille à Nice", qui rencontre un grand succès.
En 1770, il rejoint l'Italie pour s'installer définitivement à Rome où il écrit de nombreuses pièces, notamment des tragédies inspirées de la mythologie grecque et romaine. Il est également connu pour ses traductions du théâtre grec ancien, en particulier d'Eschyle et de Sophocle.
Ses œuvres ont été un exemple important pour le renouveau du théâtre italien au XVIIIe siècle, qui a vu la naissance de l'école napolitaine, dont les maîtres sont Giovanni Battista Nicotera et Carlo Goldoni.
