François Girotto (vers 1460 – après 1525) est un sculpteur et orfèvre franc-comtois de style gothique. Son activité principale se situe à Dijon où il travaille pour la cour des ducs de Bourgogne.
Originaire d'une famille d'orfèvres, François Girotto est probablement apprenti chez son père, Jean Girotto, et son oncle Claude Girotto. Il commence sa carrière à Dijon sous les auspices de Jean Morin, maître de forge et orfèvre royal.
Il collabore ensuite avec le sculpteur Claus Sluter pour la réalisation du "Jugement dernier" sur le jubé de l'église des Cordeliers à Dijon, entre 1496 et 1504. Il travaille également pour les églises Notre-Dame et Saint-Etienne de Dijon, ainsi que pour la construction du Château de Châtelet.
François Girotto est connu notamment pour son talent dans l'art du repoussé des métaux. Il réalise plusieurs pièces en argent, or, bronze et cuivre, tels que les chandeliers et les vases de la Chapelle de la Trinité à Dijon, ainsi que les coupes de l'autel majeur de la Cathédrale Saint-Étienne.
Il semble avoir été actif jusqu'à une époque tardive, après 1525, car on a retrouvé un portrait d'un sculpteur en bois datant de cette période et qui pourrait représenter François Girotto.
Originaire d'une famille d'orfèvres, François Girotto est probablement apprenti chez son père, Jean Girotto, et son oncle Claude Girotto. Il commence sa carrière à Dijon sous les auspices de Jean Morin, maître de forge et orfèvre royal.
Il collabore ensuite avec le sculpteur Claus Sluter pour la réalisation du "Jugement dernier" sur le jubé de l'église des Cordeliers à Dijon, entre 1496 et 1504. Il travaille également pour les églises Notre-Dame et Saint-Etienne de Dijon, ainsi que pour la construction du Château de Châtelet.
François Girotto est connu notamment pour son talent dans l'art du repoussé des métaux. Il réalise plusieurs pièces en argent, or, bronze et cuivre, tels que les chandeliers et les vases de la Chapelle de la Trinité à Dijon, ainsi que les coupes de l'autel majeur de la Cathédrale Saint-Étienne.
Il semble avoir été actif jusqu'à une époque tardive, après 1525, car on a retrouvé un portrait d'un sculpteur en bois datant de cette période et qui pourrait représenter François Girotto.
