George Bizos, né le 28 février 1927 à Athènes (Grèce) et mort le 3 juin 2020 à Johannesburg (Afrique du Sud), est un avocat, juriste et professeur d'université sud-africain.
Il a grandi en Grèce avant de fuir le régime des Nazis et d'émigrer en Afrique du Sud en 1947 pour étudier le droit à l'University of the Witwatersrand. Il y obtient son diplôme de droit et s'engage dans la lutte contre l'apartheid.
En 1953, il rejoint le Congrès national africain (ANC) et devient l'avocat d'un grand nombre de résistants à l'apartheid, y compris Nelson Mandela. Il défend également des dirigeants du parti communiste sud-africain et participe au procès de la Défense de Rivonia en 1964, où Mandela est condamné à une peine de prison à vie.
En 1977, Bizos quitte l'Afrique du Sud pour éviter d'être arrêté par le régime apartheid. Il se réfugie en France et revient en Afrique du Sud en 1990, après la libération de Nelson Mandela.
Il enseigne au sein de plusieurs institutions universitaires sud-africaines, dont l'University of the Witwatersrand et l'Université de Johannesburg, où il est professeur émérite de droit constitutionnel. Il a également été président du Comité international pour la défense des droits humains (ICDH) entre 1987 et 2005.
En reconnaissance de son travail en faveur des droits humains, Bizos reçoit plusieurs récompenses, dont la Médaille de l'Ordre national des Pointes Blanches par le gouvernement grec en 1996 et la Croix de Commandeur dans l'ordre national du Mérite par la France en 2013.
Bizos est décrit comme un symbole de la résistance à l'apartheid et une figure clé de la lutte contre les injustices racistes en Afrique du Sud.
Il a grandi en Grèce avant de fuir le régime des Nazis et d'émigrer en Afrique du Sud en 1947 pour étudier le droit à l'University of the Witwatersrand. Il y obtient son diplôme de droit et s'engage dans la lutte contre l'apartheid.
En 1953, il rejoint le Congrès national africain (ANC) et devient l'avocat d'un grand nombre de résistants à l'apartheid, y compris Nelson Mandela. Il défend également des dirigeants du parti communiste sud-africain et participe au procès de la Défense de Rivonia en 1964, où Mandela est condamné à une peine de prison à vie.
En 1977, Bizos quitte l'Afrique du Sud pour éviter d'être arrêté par le régime apartheid. Il se réfugie en France et revient en Afrique du Sud en 1990, après la libération de Nelson Mandela.
Il enseigne au sein de plusieurs institutions universitaires sud-africaines, dont l'University of the Witwatersrand et l'Université de Johannesburg, où il est professeur émérite de droit constitutionnel. Il a également été président du Comité international pour la défense des droits humains (ICDH) entre 1987 et 2005.
En reconnaissance de son travail en faveur des droits humains, Bizos reçoit plusieurs récompenses, dont la Médaille de l'Ordre national des Pointes Blanches par le gouvernement grec en 1996 et la Croix de Commandeur dans l'ordre national du Mérite par la France en 2013.
Bizos est décrit comme un symbole de la résistance à l'apartheid et une figure clé de la lutte contre les injustices racistes en Afrique du Sud.
