Fulgence Ouedraogo est un réalisateur et scénariste burkinabé né le 31 janvier 1960 à Ouagadougou. Il est considéré comme l'un des principaux représentants du cinéma d'Afrique de l'Ouest et a gagné plusieurs récompenses internationales pour ses films.
Diplômé de l'Institut National des Langues et des Arts (INA) à Ouagadougou, il a commencé sa carrière en tant que monteur pour diverses productions cinématographiques burkinabées. En 1986, il réalise son premier court métrage, "Les Larmes de l'enfant", qui a été présenté à la Semaine de la critique du Festival de Cannes.
En 1987, il obtient une bourse de la Fondation Gulbenkian pour étudier le cinéma en France et se forme à la Cinémathèque française et à l'École nationale supérieure Louis-Lumière. À son retour en Afrique, il réalise plusieurs longs métrages, dont "Yam Daabo" (1989), qui a été sélectionné au Festival de Cannes 1989 et a reçu le prix FESPACO pour la meilleure photographie.
En 2001, il réalise son film le plus connu, "Samba Traoré", qui a gagné le Grand Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes. Ce film raconte l'histoire d'un jeune garçon sénégalais qui rêve de devenir footballeur professionnel, mais est confronté aux réalités difficiles de la vie dans une grande ville africaine.
En plus de son travail de réalisateur, Ouedraogo est également professeur à l'Université Joseph Ki-Zerbo à Ouagadougou et a été président du jury du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) en 2013. En 2017, il est fait chevalier de l'Ordre national du Bénin.
En 2020, il réalise son dernier film, "Le Cahier des vieux souvenirs", qui raconte l'histoire d'une ancienne école et des élèves qui y ont été étudiants. Ce film a été présenté à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes 2021.
Diplômé de l'Institut National des Langues et des Arts (INA) à Ouagadougou, il a commencé sa carrière en tant que monteur pour diverses productions cinématographiques burkinabées. En 1986, il réalise son premier court métrage, "Les Larmes de l'enfant", qui a été présenté à la Semaine de la critique du Festival de Cannes.
En 1987, il obtient une bourse de la Fondation Gulbenkian pour étudier le cinéma en France et se forme à la Cinémathèque française et à l'École nationale supérieure Louis-Lumière. À son retour en Afrique, il réalise plusieurs longs métrages, dont "Yam Daabo" (1989), qui a été sélectionné au Festival de Cannes 1989 et a reçu le prix FESPACO pour la meilleure photographie.
En 2001, il réalise son film le plus connu, "Samba Traoré", qui a gagné le Grand Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes. Ce film raconte l'histoire d'un jeune garçon sénégalais qui rêve de devenir footballeur professionnel, mais est confronté aux réalités difficiles de la vie dans une grande ville africaine.
En plus de son travail de réalisateur, Ouedraogo est également professeur à l'Université Joseph Ki-Zerbo à Ouagadougou et a été président du jury du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) en 2013. En 2017, il est fait chevalier de l'Ordre national du Bénin.
En 2020, il réalise son dernier film, "Le Cahier des vieux souvenirs", qui raconte l'histoire d'une ancienne école et des élèves qui y ont été étudiants. Ce film a été présenté à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes 2021.
