François Michel Gonot est un ingénieur électricien et universitaire français né le 18 mai 1952 à Marseille.
Il a étudié à l'École polytechnique, puis à l'ENSTA (Ecole nationale supérieure des télécommunications) de Paris, où il a obtenu son diplôme d'ingénieur en 1974. Ensuite, il a suivi des études supérieures à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS).
Gonot est connu pour ses travaux sur la théorie de l'information et les systèmes d'information, ainsi que pour son implication dans le développement de la téléphonie mobile. Il a été professeur à l'ENSTA de 1984 à 2007, puis à l'École centrale Paris de 2007 à 2017.
Il est membre correspondant de l'Académie des sciences depuis 1996 et a reçu plusieurs prix pour ses travaux, tels que le prix de la Fondation Gödel en 1985, le grand prix de l'Informatique du Syndicat de l'électronique française (SEF) en 1994 et le prix Paul-Lévy de l'Académie des sciences en 2006.
En outre, il est membre actif de plusieurs organisations professionnelles, notamment la Société française de théorie de l'information et de communication (SFTIC) et la Société française d'informatique (SFI).
Il a étudié à l'École polytechnique, puis à l'ENSTA (Ecole nationale supérieure des télécommunications) de Paris, où il a obtenu son diplôme d'ingénieur en 1974. Ensuite, il a suivi des études supérieures à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS).
Gonot est connu pour ses travaux sur la théorie de l'information et les systèmes d'information, ainsi que pour son implication dans le développement de la téléphonie mobile. Il a été professeur à l'ENSTA de 1984 à 2007, puis à l'École centrale Paris de 2007 à 2017.
Il est membre correspondant de l'Académie des sciences depuis 1996 et a reçu plusieurs prix pour ses travaux, tels que le prix de la Fondation Gödel en 1985, le grand prix de l'Informatique du Syndicat de l'électronique française (SEF) en 1994 et le prix Paul-Lévy de l'Académie des sciences en 2006.
En outre, il est membre actif de plusieurs organisations professionnelles, notamment la Société française de théorie de l'information et de communication (SFTIC) et la Société française d'informatique (SFI).
