François Marie Picaud est un personnage historique né le 13 décembre 1760 à Plouharnel (Morbihan) et mort le 29 juillet 1827 à Paris. Il est connu pour son rôle lors de la Révolution française, notamment sa participation à la guerre de Vendée.
Il a commencé sa carrière militaire en s'engageant comme simple soldat dans l'armée royale sous Louis XVI. Mais son destin a pris un tournant après le début de la Révolution. En 1793, il rejoint les Vendéens lorsqu'il apprend que sa famille a été poursuivie pendant la Terreur.
Picaud a rapidement monté les échelons et est devenu un des chefs militaires les plus importants de l'armée vendéenne, notamment pour son rôle dans la bataille de Cholet en 1793 et la bataille de Saumur en 1794. Il a également été le chef de l'Armée catholique et royale pendant le soulèvement royaliste de La Vendée.
Cependant, après plusieurs années de combats, les forces républicaines ont finalement triomphé. En 1796, Picaud a accepté de se rendre à condition que sa vie soit épargnée. Il a été emprisonné mais a ensuite été libéré en échange de la signature du Traité de La Jaunaye en 1802, qui marquait la fin officielle de la guerre de Vendée.
Après cette période, Picaud est retourné dans sa région natale et s'est consacré à l'agriculture jusqu'à sa mort en 1827. Il a été inhumé avec les honneurs militaires à l'église Saint-Jean-Baptiste de Plouharnel, où une statue en son honneur peut encore être vue aujourd'hui.
Il a commencé sa carrière militaire en s'engageant comme simple soldat dans l'armée royale sous Louis XVI. Mais son destin a pris un tournant après le début de la Révolution. En 1793, il rejoint les Vendéens lorsqu'il apprend que sa famille a été poursuivie pendant la Terreur.
Picaud a rapidement monté les échelons et est devenu un des chefs militaires les plus importants de l'armée vendéenne, notamment pour son rôle dans la bataille de Cholet en 1793 et la bataille de Saumur en 1794. Il a également été le chef de l'Armée catholique et royale pendant le soulèvement royaliste de La Vendée.
Cependant, après plusieurs années de combats, les forces républicaines ont finalement triomphé. En 1796, Picaud a accepté de se rendre à condition que sa vie soit épargnée. Il a été emprisonné mais a ensuite été libéré en échange de la signature du Traité de La Jaunaye en 1802, qui marquait la fin officielle de la guerre de Vendée.
Après cette période, Picaud est retourné dans sa région natale et s'est consacré à l'agriculture jusqu'à sa mort en 1827. Il a été inhumé avec les honneurs militaires à l'église Saint-Jean-Baptiste de Plouharnel, où une statue en son honneur peut encore être vue aujourd'hui.
