François Jourda de Vaux de Foletier est un historien et homme politique français né le 1er décembre 1720 à Dijon et mort le 18 septembre 1794 à Paris.
Il commence sa carrière en tant que procureur-général du bailliage d'Autun, puis il est nommé intendant de la généralité de Lyon en 1756. Il y reste jusqu'en 1770, date à laquelle il est nommé président au Parlement de Paris.
En 1789, il est élu député du tiers état aux États généraux et devient l'un des chefs de file des "modérés" qui tentent de préserver les intérêts de la monarchie et d'éviter la montée en puissance des partis révolutionnaires. Il est notamment connu pour avoir proposé la fameuse pétition des « 625 », une demande de reformes destinée à garantir l'indépendance du pouvoir législatif vis-à -vis du roi Louis XVI, qui ne sera pas retenue par l'Assemblée nationale.
Le 10 août 1792, il est dénoncé comme « ennemi de la patrie » et inculpé pour haute trahison. Arrêté, il est condamné à mort le 18 septembre 1794 par le Tribunal révolutionnaire et guillotiné la même journée.
François Jourda de Vaux de Foletier reste un des personnages emblématiques du début de la Révolution française, représentatif de l'aile conservatrice et modérée qui a dû céder devant les exigences radicales des révolutionnaires.
Il commence sa carrière en tant que procureur-général du bailliage d'Autun, puis il est nommé intendant de la généralité de Lyon en 1756. Il y reste jusqu'en 1770, date à laquelle il est nommé président au Parlement de Paris.
En 1789, il est élu député du tiers état aux États généraux et devient l'un des chefs de file des "modérés" qui tentent de préserver les intérêts de la monarchie et d'éviter la montée en puissance des partis révolutionnaires. Il est notamment connu pour avoir proposé la fameuse pétition des « 625 », une demande de reformes destinée à garantir l'indépendance du pouvoir législatif vis-à -vis du roi Louis XVI, qui ne sera pas retenue par l'Assemblée nationale.
Le 10 août 1792, il est dénoncé comme « ennemi de la patrie » et inculpé pour haute trahison. Arrêté, il est condamné à mort le 18 septembre 1794 par le Tribunal révolutionnaire et guillotiné la même journée.
François Jourda de Vaux de Foletier reste un des personnages emblématiques du début de la Révolution française, représentatif de l'aile conservatrice et modérée qui a dû céder devant les exigences radicales des révolutionnaires.
