François Jacob (8 juin 1920 – 17 mars 2013) était un généticien français qui a remporté le prix Nobel de physiologie ou médecine en 1965, conjointement avec André Lwoff et Jacques Monod, pour leurs découvertes sur la régulation gène-opéré.
Jacob est né à Paris et a grandi dans une famille juive. Il est diplômé de l'École normale supérieure (ENS) en 1941 mais sa carrière académique a été suspendue pendant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, il a rejoint le laboratoire de biologie marine à Gif-sur-Yvette sous les ordres d'André Lwoff et Jacques Monod, où il a poursuivi ses recherches sur la régulation des gènes.
En 1952, Jacob et Monod ont proposé la théorie du cycle de lac operon, qui décrit comment le fonctionnement des gènes est contrôlé par les protéines régulatrices. Cette théorie a révolutionné notre compréhension de la régulation génique.
Jacob a également fait d'importantes contributions à la compréhension du processus de mutation et de l'hérédité des gènes, ainsi qu'au développement de la théorie de l'adhésion cellulaire.
En 1960, Jacob est devenu professeur à l'École normale supérieure, poste qu'il a occupé jusqu'à sa retraite en 1981. Il a continué à travailler sur les problèmes de génétique moléculaire et a été élu membre de l'Académie française en 1973.
François Jacob est mort le 17 mars 2013, à l'âge de 92 ans. Son travail a eu une influence considérable sur la biologie moléculaire et continue d'être cité dans les recherches scientifiques aujourd'hui.
Jacob est né à Paris et a grandi dans une famille juive. Il est diplômé de l'École normale supérieure (ENS) en 1941 mais sa carrière académique a été suspendue pendant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, il a rejoint le laboratoire de biologie marine à Gif-sur-Yvette sous les ordres d'André Lwoff et Jacques Monod, où il a poursuivi ses recherches sur la régulation des gènes.
En 1952, Jacob et Monod ont proposé la théorie du cycle de lac operon, qui décrit comment le fonctionnement des gènes est contrôlé par les protéines régulatrices. Cette théorie a révolutionné notre compréhension de la régulation génique.
Jacob a également fait d'importantes contributions à la compréhension du processus de mutation et de l'hérédité des gènes, ainsi qu'au développement de la théorie de l'adhésion cellulaire.
En 1960, Jacob est devenu professeur à l'École normale supérieure, poste qu'il a occupé jusqu'à sa retraite en 1981. Il a continué à travailler sur les problèmes de génétique moléculaire et a été élu membre de l'Académie française en 1973.
François Jacob est mort le 17 mars 2013, à l'âge de 92 ans. Son travail a eu une influence considérable sur la biologie moléculaire et continue d'être cité dans les recherches scientifiques aujourd'hui.
