François Alexandre Gérardin, né le 20 septembre 1756 à Paris et décédé le 3 février 1814 dans la même ville, est un homme politique français qui occupa différents postes de haut niveau sous la Révolution française et l'Empire.
Après des études de droit, Gérardin exerça comme avocat à la Cour royale de Paris. Il entra dans le milieu politique en devenant maître d'hôtel du duc d'Orléans en 1786. Lors de la Révolution française, il siégea à l'Assemblée législative et à la Convention nationale, où il fut notamment membre de la commission des lois criminelles. Il se distingua par sa défense du droit d'asile et de la liberté religieuse.
Après le coup d'État du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799), Gérardin fut nommé au Conseil des Cinq-Cents, puis ministre de l'Intérieur sous Napoléon Bonaparte en 1806. Dans cette fonction, il s'attaqua aux derniers vestiges du fédéralisme et promota la centralisation de l'État français. Il fut également président de la cour de justice de Paris et membre du Sénat conservateur.
Gérardin fut également un écrivain prolifique : il publia des livres sur le droit, l'économie politique, les lois administratives et la théorie de la constitution. Il mourut à Paris en 1814, quelques jours avant la chute de Napoléon Ier.
Après des études de droit, Gérardin exerça comme avocat à la Cour royale de Paris. Il entra dans le milieu politique en devenant maître d'hôtel du duc d'Orléans en 1786. Lors de la Révolution française, il siégea à l'Assemblée législative et à la Convention nationale, où il fut notamment membre de la commission des lois criminelles. Il se distingua par sa défense du droit d'asile et de la liberté religieuse.
Après le coup d'État du 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799), Gérardin fut nommé au Conseil des Cinq-Cents, puis ministre de l'Intérieur sous Napoléon Bonaparte en 1806. Dans cette fonction, il s'attaqua aux derniers vestiges du fédéralisme et promota la centralisation de l'État français. Il fut également président de la cour de justice de Paris et membre du Sénat conservateur.
Gérardin fut également un écrivain prolifique : il publia des livres sur le droit, l'économie politique, les lois administratives et la théorie de la constitution. Il mourut à Paris en 1814, quelques jours avant la chute de Napoléon Ier.
