Eugène Lintilhac (né le 24 septembre 1938 à Paris et décédé le 5 août 2017 à Puteaux) est un physicien français.
Il a obtenu son doctorat en physique théorique à l'École normale supérieure de la rue d'Ulm en 1964. Il s'est spécialisé dans les méthodes numériques et les applications des mathématiques aux sciences naturelles.
Il a été nommé professeur à l'Institut national polytechnique de Grenoble (INPG) en 1971, puis il est retourné à Paris où il a rejoint le Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Il a occupé divers postes au sein du CNRS, dont celui de directeur de l'Institut de physique théorique de Saclay.
En 1982, Eugène Lintilhac a été élu à l'Académie des sciences et en est devenu le président en 2015. Il a également été membre du Conseil supérieur de la recherche scientifique (CSRS) de 1983 à 1986 et de l'Association française pour le progrès des sciences (AFPS) de 1997 à 2004, ainsi que président de la Société française de physique de 1995 à 1998.
Eugène Lintilhac a reçu plusieurs distinctions pour son travail scientifique, dont le prix Paul-Langevin de l'AFPS en 1970, la médaille d'argent du CNRS en 1974 et la grande médaille de vermeil de la ville de Paris en 2015. Il est également officier dans l'ordre national du Mérite.
Eugène Lintilhac a publié plus de 300 articles scientifiques, dont certains sont considérés comme des classiques dans leur domaine. Il a travaillé sur un large éventail de sujets, notamment la théorie quantique des champs, la mécanique statistique et les applications numériques à la physique.
Il a également été un défenseur actif des mathématiques et de leur utilisation dans le monde contemporain, y compris dans l'industrie et les technologies d'information. Il est notamment connu pour son livre "Les Mathématiques et le progrès technologique" (1994), où il explique comment la science mathématique a contribué à des avancées telles que les calculs numériques, la physique quantique et l'Internet.
Il a obtenu son doctorat en physique théorique à l'École normale supérieure de la rue d'Ulm en 1964. Il s'est spécialisé dans les méthodes numériques et les applications des mathématiques aux sciences naturelles.
Il a été nommé professeur à l'Institut national polytechnique de Grenoble (INPG) en 1971, puis il est retourné à Paris où il a rejoint le Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Il a occupé divers postes au sein du CNRS, dont celui de directeur de l'Institut de physique théorique de Saclay.
En 1982, Eugène Lintilhac a été élu à l'Académie des sciences et en est devenu le président en 2015. Il a également été membre du Conseil supérieur de la recherche scientifique (CSRS) de 1983 à 1986 et de l'Association française pour le progrès des sciences (AFPS) de 1997 à 2004, ainsi que président de la Société française de physique de 1995 à 1998.
Eugène Lintilhac a reçu plusieurs distinctions pour son travail scientifique, dont le prix Paul-Langevin de l'AFPS en 1970, la médaille d'argent du CNRS en 1974 et la grande médaille de vermeil de la ville de Paris en 2015. Il est également officier dans l'ordre national du Mérite.
Eugène Lintilhac a publié plus de 300 articles scientifiques, dont certains sont considérés comme des classiques dans leur domaine. Il a travaillé sur un large éventail de sujets, notamment la théorie quantique des champs, la mécanique statistique et les applications numériques à la physique.
Il a également été un défenseur actif des mathématiques et de leur utilisation dans le monde contemporain, y compris dans l'industrie et les technologies d'information. Il est notamment connu pour son livre "Les Mathématiques et le progrès technologique" (1994), où il explique comment la science mathématique a contribué à des avancées telles que les calculs numériques, la physique quantique et l'Internet.
