Eugène Caillaux est né le 28 décembre 1864 à Agen dans le Lot-et-Garonne en France. Il a été un personnalité politique et un avocat français du début du XXe siècle, connu pour son rôle actif dans la politique française à l'époque de la Troisième République.
En 1895, il a commencé sa carrière politique en étant élu député de la Loire-Inférieure (aujourd'hui Loire-Atlantique) et a rejoint le Parti radical, devenant proche de Jean Jaurès.
En 1902, il est nommé ministre des Postes, Télégraphes et Téléphones dans le gouvernement d'Émile Combes, mais sa carrière politique connait un premier tournant lorsqu'il démissionne en désaccord avec la politique du gouvernement en matière de séparation de l'Église et de l'État.
En 1905, il est de nouveau nommé ministre des Postes, Télégraphes et Téléphones dans le gouvernement de Maurice Rouvier et joue un rôle important dans la création du service public des PTT (Postes, Télégraphes et Téléphones).
En 1906, il est élu président de l'Assemblée nationale française. Cependant, sa carrière politique connait une deuxième interruption en 1909 lorsqu'il démissionne pour protester contre la politique de Joseph Caillaux (non lié), alors ministre des Finances dans le gouvernement de Georges Clemenceau.
En 1914, il rejoint la droite radicale et devient membre du Comité de guerre. Il est également un partisan actif de l'Union sacrée pendant la Première Guerre mondiale.
Après la guerre, il a continué à être actif dans la politique française jusqu'à sa mort le 12 janvier 1944 à Paris. Il était considéré comme l'un des hommes politiques les plus influents de l'époque de la Troisième République en France.
En 1895, il a commencé sa carrière politique en étant élu député de la Loire-Inférieure (aujourd'hui Loire-Atlantique) et a rejoint le Parti radical, devenant proche de Jean Jaurès.
En 1902, il est nommé ministre des Postes, Télégraphes et Téléphones dans le gouvernement d'Émile Combes, mais sa carrière politique connait un premier tournant lorsqu'il démissionne en désaccord avec la politique du gouvernement en matière de séparation de l'Église et de l'État.
En 1905, il est de nouveau nommé ministre des Postes, Télégraphes et Téléphones dans le gouvernement de Maurice Rouvier et joue un rôle important dans la création du service public des PTT (Postes, Télégraphes et Téléphones).
En 1906, il est élu président de l'Assemblée nationale française. Cependant, sa carrière politique connait une deuxième interruption en 1909 lorsqu'il démissionne pour protester contre la politique de Joseph Caillaux (non lié), alors ministre des Finances dans le gouvernement de Georges Clemenceau.
En 1914, il rejoint la droite radicale et devient membre du Comité de guerre. Il est également un partisan actif de l'Union sacrée pendant la Première Guerre mondiale.
Après la guerre, il a continué à être actif dans la politique française jusqu'à sa mort le 12 janvier 1944 à Paris. Il était considéré comme l'un des hommes politiques les plus influents de l'époque de la Troisième République en France.
