Émile Gérardou (26 juillet 1870 - 4 juin 1951) est un écrivain et critique littéraire français, né à Paris. Il a passé une partie de son enfance en Bretagne, où il a été influencé par la culture bretonne et la langue bretonne.
Il publie ses premiers articles dans des journaux et revues à partir de 1890, sous le pseudonyme "Gérard". En 1894, il collabore avec Octave Mirbeau à la fondation du journal satirique *La Fronde*, qui sera interdit par la loi en 1895.
En 1898, Emile Gérardou est l'un des membres fondateurs de la revue *Mercure de France*, où il collabore jusqu'en 1903 avec André Gide et Pierre Louÿs. Il publie également dans le journal *Le Matin* à partir de 1897, où il rédige un article sur les Jours de Fête à Toulouse, qui lui vaudra d'être condamné à une peine de prison ferme.
En 1904, il publie son premier roman *La Mort de Cleopâtre*, qui sera suivi par plusieurs autres romans, dont les plus connus sont *Un mauvais garçon* (1913) et *Le Sang des aïeux* (1928). Il reçoit le Prix Goncourt en 1924 pour son roman *La Terre et l'Ombre*.
En plus de sa carrière littéraire, Emile Gérardou s'implique dans la défense des droits sociaux et politiques des ouvriers du livre, ainsi que dans les luttes contre le colonialisme. Il est un des fondateurs du Syndicat national des auteurs en 1920 et préside l'Union des écrivains de langue française à partir de 1937.
Il meurt à Paris en 1951 à l'âge de 80 ans.
Il publie ses premiers articles dans des journaux et revues à partir de 1890, sous le pseudonyme "Gérard". En 1894, il collabore avec Octave Mirbeau à la fondation du journal satirique *La Fronde*, qui sera interdit par la loi en 1895.
En 1898, Emile Gérardou est l'un des membres fondateurs de la revue *Mercure de France*, où il collabore jusqu'en 1903 avec André Gide et Pierre Louÿs. Il publie également dans le journal *Le Matin* à partir de 1897, où il rédige un article sur les Jours de Fête à Toulouse, qui lui vaudra d'être condamné à une peine de prison ferme.
En 1904, il publie son premier roman *La Mort de Cleopâtre*, qui sera suivi par plusieurs autres romans, dont les plus connus sont *Un mauvais garçon* (1913) et *Le Sang des aïeux* (1928). Il reçoit le Prix Goncourt en 1924 pour son roman *La Terre et l'Ombre*.
En plus de sa carrière littéraire, Emile Gérardou s'implique dans la défense des droits sociaux et politiques des ouvriers du livre, ainsi que dans les luttes contre le colonialisme. Il est un des fondateurs du Syndicat national des auteurs en 1920 et préside l'Union des écrivains de langue française à partir de 1937.
Il meurt à Paris en 1951 à l'âge de 80 ans.
