Edmond Louis Alexis Crance (né le 20 décembre 1875 à Saint-Louis, Haiti et mort le 1er janvier 1946 à Port-au-Prince) est un écrivain, poète et critique littéraire haïtien.
Crance a grandi dans une famille modeste et a été élevé par sa mère après la mort de son père. Il a fréquenté l'École normale supérieure de Port-au-Prince où il a développé un intérêt pour la poésie. Sa première œuvre, "Les Larmes du peuple" (1894), est une série de poèmes qui dénoncent les injustices sociales et politiques en Haïti.
Crance a ensuite publié plusieurs autres ouvrages littéraires, y compris un roman "Le Marron" (1896) et des recueils de poésie tels que "La Voix du Glaive" (1897), "Les Fleurs Rouges" (1904) et "Mes Larmes" (1906). Ses écrits ont souvent été marqués par des thèmes sociaux et politiques, notamment l'inégalité raciale et la condition de la classe ouvrière.
Crance a également été un critique littéraire prolifique, écrivant pour les journaux haïtiens tels que "Le Nouvelliste" et "Le Petit Citoyen". Il a publié des critiques littéraires régulières pendant plusieurs décennies et a souvent exprimé des opinions controversées sur la littérature et la politique en Haïti.
En plus de son travail littéraire, Crance a également été actif dans les affaires politiques en Haïti. Il était un partisan du président haïtien Tirésias Simon Sam de l'Hermitage et a servi comme député à l'Assemblée nationale pendant plusieurs années.
Crance a passé la majeure partie de sa vie à Port-au-Prince, où il est décédé en 1946. Il reste un figure importante de la littérature et de la culture haïtienne et est reconnu comme l'un des premiers écrivains à avoir abordé les problèmes sociaux et politiques en Haïti dans ses écrits.
Crance a grandi dans une famille modeste et a été élevé par sa mère après la mort de son père. Il a fréquenté l'École normale supérieure de Port-au-Prince où il a développé un intérêt pour la poésie. Sa première œuvre, "Les Larmes du peuple" (1894), est une série de poèmes qui dénoncent les injustices sociales et politiques en Haïti.
Crance a ensuite publié plusieurs autres ouvrages littéraires, y compris un roman "Le Marron" (1896) et des recueils de poésie tels que "La Voix du Glaive" (1897), "Les Fleurs Rouges" (1904) et "Mes Larmes" (1906). Ses écrits ont souvent été marqués par des thèmes sociaux et politiques, notamment l'inégalité raciale et la condition de la classe ouvrière.
Crance a également été un critique littéraire prolifique, écrivant pour les journaux haïtiens tels que "Le Nouvelliste" et "Le Petit Citoyen". Il a publié des critiques littéraires régulières pendant plusieurs décennies et a souvent exprimé des opinions controversées sur la littérature et la politique en Haïti.
En plus de son travail littéraire, Crance a également été actif dans les affaires politiques en Haïti. Il était un partisan du président haïtien Tirésias Simon Sam de l'Hermitage et a servi comme député à l'Assemblée nationale pendant plusieurs années.
Crance a passé la majeure partie de sa vie à Port-au-Prince, où il est décédé en 1946. Il reste un figure importante de la littérature et de la culture haïtienne et est reconnu comme l'un des premiers écrivains à avoir abordé les problèmes sociaux et politiques en Haïti dans ses écrits.
