Gérard de Villéménil est un personnage historique français né le 6 mars 1757 à Laveline-du-Houx dans le département de Meurthe-et-Moselle et mort le 18 mai 1832 à Dugny (Val-d'Oise). Il est connu pour son rôle important pendant la Révolution française.
Après des études de droit, il entre au parlement de Metz en 1780 où il défend les intérêts de la noblesse et des églises catholiques. Mais lors de l'assemblée générale du clergé de 1789 à Versailles, il se montre opposé aux réformes de l'Assemblée nationale et tente sans succès d'empêcher la prise de pouvoir par celle-ci.
Pendant la Révolution française, Gérard de Villéménil change plusieurs fois de camp. Il s'engage d'abord dans les armées révolutionnaires en 1792, mais il est arrêté en 1793 pour ses positions royalistes. Libéré après la chute de Robespierre en 1794, il change à nouveau de camp et se rallie au Directoire en 1795.
De 1800 à 1806, il occupe différents postes administratifs sous les Consulat et le Premier Empire. Mais il est finalement exclu du pouvoir par Napoléon Ier pour ses positions royalistes.
Après la chute de l'Empire, Gérard de Villéménil reprend ses activités politiques et se montre opposant à Napoléon Ier lors de son retour de l'île d'Elbe en 1815. Il est membre du Corps législatif sous la Restauration, mais il ne peut pas empêcher le retour des Bourbons sur le trône français.
Gérard de Villéménil meurt le 18 mai 1832 à Dugny dans le Val-d'Oise, où il est enterré avec les honneurs militaires. Il est considéré comme un des derniers grands survivants de la Révolution française et comme un des plus constants défenseurs des intérêts des églises catholiques pendant cette période.
Après des études de droit, il entre au parlement de Metz en 1780 où il défend les intérêts de la noblesse et des églises catholiques. Mais lors de l'assemblée générale du clergé de 1789 à Versailles, il se montre opposé aux réformes de l'Assemblée nationale et tente sans succès d'empêcher la prise de pouvoir par celle-ci.
Pendant la Révolution française, Gérard de Villéménil change plusieurs fois de camp. Il s'engage d'abord dans les armées révolutionnaires en 1792, mais il est arrêté en 1793 pour ses positions royalistes. Libéré après la chute de Robespierre en 1794, il change à nouveau de camp et se rallie au Directoire en 1795.
De 1800 à 1806, il occupe différents postes administratifs sous les Consulat et le Premier Empire. Mais il est finalement exclu du pouvoir par Napoléon Ier pour ses positions royalistes.
Après la chute de l'Empire, Gérard de Villéménil reprend ses activités politiques et se montre opposant à Napoléon Ier lors de son retour de l'île d'Elbe en 1815. Il est membre du Corps législatif sous la Restauration, mais il ne peut pas empêcher le retour des Bourbons sur le trône français.
Gérard de Villéménil meurt le 18 mai 1832 à Dugny dans le Val-d'Oise, où il est enterré avec les honneurs militaires. Il est considéré comme un des derniers grands survivants de la Révolution française et comme un des plus constants défenseurs des intérêts des églises catholiques pendant cette période.
