David Stoll est un anthropologue et écrivain américain né le 12 mars 1954 à New York. Il obtient son doctorat à l'Université de Chicago en 1983, où il a également étudié pour son Master of Arts.
Stoll est surtout connu pour ses recherches et ses écrits sur la société et la culture Maya au Guatemala. Il a passé une grande partie de sa carrière à travailler avec les communautés indigènes du pays, en particulier celles qui ont été affectées par la guerre civile.
En 1980, il publie son premier livre, "The Cartographer's Field Guide to Guatemala," qui décrit sa expérience de voyage dans le pays. En 1984, Stoll rejoint l'université Harvard en tant que membre du laboratoire de recherche linguistique et anthropologique de la langue Maya Yucatec.
En 1992, il publie "Island of the Lost: The Guatemalan Genocide, a Story of Hope," qui retrace l'histoire de la communauté indigène Ixil et leur lutte pour survivre pendant la guerre civile au Guatemala. Le livre a remporté le prix Lannan Literary Award for Nonfiction en 1993.
En 2008, Stoll publie "Rigoberta Menchú: An Anthropologist's Critique," dans lequel il critique la biographie de Rigoberta Menchú Tum, une activiste maya guatémaltèque lauréate du Prix Nobel de la paix en 1992. Stoll affirme que les déclarations de Menchú sur son passé sont inexactes et que l'histoire de sa famille est inventée ou exagérée pour servir les intérêts politiques.
David Stoll continue à enseigner la linguistique et l'anthropologie Maya à l'université Harvard, où il dirige le programme de recherche sur la langue Maya Yucatec. Il est également consultant pour des organismes internationaux tels que l'UNESCO et le Conseil international des sciences humaines (ICSH).
Stoll est surtout connu pour ses recherches et ses écrits sur la société et la culture Maya au Guatemala. Il a passé une grande partie de sa carrière à travailler avec les communautés indigènes du pays, en particulier celles qui ont été affectées par la guerre civile.
En 1980, il publie son premier livre, "The Cartographer's Field Guide to Guatemala," qui décrit sa expérience de voyage dans le pays. En 1984, Stoll rejoint l'université Harvard en tant que membre du laboratoire de recherche linguistique et anthropologique de la langue Maya Yucatec.
En 1992, il publie "Island of the Lost: The Guatemalan Genocide, a Story of Hope," qui retrace l'histoire de la communauté indigène Ixil et leur lutte pour survivre pendant la guerre civile au Guatemala. Le livre a remporté le prix Lannan Literary Award for Nonfiction en 1993.
En 2008, Stoll publie "Rigoberta Menchú: An Anthropologist's Critique," dans lequel il critique la biographie de Rigoberta Menchú Tum, une activiste maya guatémaltèque lauréate du Prix Nobel de la paix en 1992. Stoll affirme que les déclarations de Menchú sur son passé sont inexactes et que l'histoire de sa famille est inventée ou exagérée pour servir les intérêts politiques.
David Stoll continue à enseigner la linguistique et l'anthropologie Maya à l'université Harvard, où il dirige le programme de recherche sur la langue Maya Yucatec. Il est également consultant pour des organismes internationaux tels que l'UNESCO et le Conseil international des sciences humaines (ICSH).
