Jean-Marie Darricau est un écrivain et critique littéraire français né le 16 février 1920 à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) et mort le 4 mai 1995 à Paris.
Après des études secondaires au lycée Louis-le-Grand, il entre à l'École normale supérieure en 1938 et y prépare l'agrégation de lettres. Il est affecté comme professeur dans le secondaire et se consacre simultanément à l'écriture et aux recherches littéraires.
En 1942, il publie son premier roman, "Les Enfants du capitaine Grant", qui connaît un grand succès et est adapté au cinéma par René Clément en 1956. Il poursuit ensuite une carrière de romancier prolifique, publiant des œuvres telles que "La Terre de l'Abbé Jacque" (1945), "La Femme du château hanté" (1947) et "Le Dernier Trou" (1953).
Parallèlement à son activité de romancier, Jean-Marie Darricau travaille comme critique littéraire pour divers journaux et magazines. Il est notamment collaborateur du quotidien "Combat", pour lequel il écrit une chronique intitulée "Bibliothèque de Combat" jusqu'à sa mort.
Darricau est également connu pour son engagement politique, qui l'amène à adhérer au Parti communiste français dans les années 1940 et à militer activement contre la guerre d'Algérie. Dans les années 1980, il se rapproche du Parti socialiste, dont il est un fervent défenseur jusqu'à sa mort.
Jean-Marie Darricau est considéré comme l'un des écrivains les plus importants de la littérature française contemporaine, et son œuvre a connu une grande popularité en France et à travers le monde. Il a reçu plusieurs récompenses pour ses romans, dont le prix Goncourt en 1960 pour "La Vie devant soi", considéré comme l'un de ses chefs-d'œuvre.
Après des études secondaires au lycée Louis-le-Grand, il entre à l'École normale supérieure en 1938 et y prépare l'agrégation de lettres. Il est affecté comme professeur dans le secondaire et se consacre simultanément à l'écriture et aux recherches littéraires.
En 1942, il publie son premier roman, "Les Enfants du capitaine Grant", qui connaît un grand succès et est adapté au cinéma par René Clément en 1956. Il poursuit ensuite une carrière de romancier prolifique, publiant des œuvres telles que "La Terre de l'Abbé Jacque" (1945), "La Femme du château hanté" (1947) et "Le Dernier Trou" (1953).
Parallèlement à son activité de romancier, Jean-Marie Darricau travaille comme critique littéraire pour divers journaux et magazines. Il est notamment collaborateur du quotidien "Combat", pour lequel il écrit une chronique intitulée "Bibliothèque de Combat" jusqu'à sa mort.
Darricau est également connu pour son engagement politique, qui l'amène à adhérer au Parti communiste français dans les années 1940 et à militer activement contre la guerre d'Algérie. Dans les années 1980, il se rapproche du Parti socialiste, dont il est un fervent défenseur jusqu'à sa mort.
Jean-Marie Darricau est considéré comme l'un des écrivains les plus importants de la littérature française contemporaine, et son œuvre a connu une grande popularité en France et à travers le monde. Il a reçu plusieurs récompenses pour ses romans, dont le prix Goncourt en 1960 pour "La Vie devant soi", considéré comme l'un de ses chefs-d'œuvre.
