Jean-François Champollion, né le 13 décembre 1790 à Figeac (Lot) et mort le 4 mars 1869 à Gézoncourt (Doubs), est un égyptologue français, connu pour avoir décrypté les hiéroglyphes égyptiens.
Après des études de droit à Paris, il commence sa carrière dans la fonction publique et se passionne pour l'histoire ancienne, notamment l'Égypte. Il publie son premier travail sur l'épigraphie en 1821, puis se consacre pleinement à l'étude des inscriptions royales égyptiennes découvertes par l'expédition française d'Auguste Mariette.
En 1822, il publie la traduction du Rosette Stone, un monument funéraire trouvé en Égypte, qui réunit des inscriptions en hiéroglyphes, en démotique (écriture grecque utilisée par les Égyptiens) et en hieroglyphiques grecs. Ce document est crucial pour Champollion car il offre une clé pour comprendre la relation entre les trois écritures.
En 1824, il publie son ouvrage "Précis du système hiéroglyphique universel", où il expose sa théorie sur la correspondance des hiéroglyphes avec les phonèmes de la langue égyptienne. Malgré l'hostilité de ses pairs, qui considèrent son travail comme une fantaisie, Champollion continue à travailler et publie plusieurs autres ouvrages consacrés à l'égyptologie.
En 1828, il est nommé conservateur du Musée du Louvre et professeur d'égyptologie à la Faculté des lettres de Paris. Il continue à travailler sur les inscriptions égyptiennes, découvre les textes des tablettes de Saqqarah et traduit le Livre des Morts d'Akhenaton, l'un des plus beaux documents littéraires égyptiens.
En 1836, il est nommé consul général en Égypte, ce qui lui permet de continuer ses recherches sur place. Il découvre le temple de Philae et travaille à la restauration des monuments égyptiens.
Jean-François Champollion est considéré comme le fondateur de l'égyptologie moderne et a ouvert une voie pour l'étude approfondie des civilisations antiques. Son travail est reconnu à son vivant, mais c'est après sa mort qu'il est réellement admiré et que l'on se rend compte de l'immense apport qu'il a apporté aux connaissances sur l'Égypte ancienne.
Après des études de droit à Paris, il commence sa carrière dans la fonction publique et se passionne pour l'histoire ancienne, notamment l'Égypte. Il publie son premier travail sur l'épigraphie en 1821, puis se consacre pleinement à l'étude des inscriptions royales égyptiennes découvertes par l'expédition française d'Auguste Mariette.
En 1822, il publie la traduction du Rosette Stone, un monument funéraire trouvé en Égypte, qui réunit des inscriptions en hiéroglyphes, en démotique (écriture grecque utilisée par les Égyptiens) et en hieroglyphiques grecs. Ce document est crucial pour Champollion car il offre une clé pour comprendre la relation entre les trois écritures.
En 1824, il publie son ouvrage "Précis du système hiéroglyphique universel", où il expose sa théorie sur la correspondance des hiéroglyphes avec les phonèmes de la langue égyptienne. Malgré l'hostilité de ses pairs, qui considèrent son travail comme une fantaisie, Champollion continue à travailler et publie plusieurs autres ouvrages consacrés à l'égyptologie.
En 1828, il est nommé conservateur du Musée du Louvre et professeur d'égyptologie à la Faculté des lettres de Paris. Il continue à travailler sur les inscriptions égyptiennes, découvre les textes des tablettes de Saqqarah et traduit le Livre des Morts d'Akhenaton, l'un des plus beaux documents littéraires égyptiens.
En 1836, il est nommé consul général en Égypte, ce qui lui permet de continuer ses recherches sur place. Il découvre le temple de Philae et travaille à la restauration des monuments égyptiens.
Jean-François Champollion est considéré comme le fondateur de l'égyptologie moderne et a ouvert une voie pour l'étude approfondie des civilisations antiques. Son travail est reconnu à son vivant, mais c'est après sa mort qu'il est réellement admiré et que l'on se rend compte de l'immense apport qu'il a apporté aux connaissances sur l'Égypte ancienne.
