Charles Robert Richet (26 mai 1850 - 23 octobre 1935) est un physiologiste et médecin français, récompensé par le prix Nobel de physiologie ou médicine en 1913.
Il naît à Dijon en Bourgogne. Son père, Alphonse Richet, est chimiste et sa mère, née Caroline Despeux, est la fille d'un négociant en vins. Il passe son enfance à Dijon avant de poursuivre ses études à Paris à l'École normale supérieure.
Il obtient son doctorat en médecine en 1875 et devient maître de conférences à la Faculté de médecine de Strasbourg, où il est professeur de physiologie en 1883. Il est nommé professeur titulaire à la Sorbonne à Paris en 1890.
Ses travaux portent sur l'anaphylaxie, la régénération des tissus et les réactions chimiques dans le corps humain. Il découvre avec Camille Jordan la coagulation de l'albumine et il est l'un des premiers à émettre l'hypothèse que certains antigènes sont capables d'évoluer dans les cellules.
En 1902, il reçoit le prix Montyon de l'Académie française pour son ouvrage "La Vie". En 1913, il est récompensé par le prix Nobel de physiologie ou médicine avec Charles Richet et Henri Édouard Dalton pour leurs travaux sur la régénération des tissus.
Il meurt à Paris en 1935 à l'âge de 85 ans. Sa carrière scientifique, marquée par des découvertes importantes, a largement contribué au progrès de la médecine et de la physiologie.
Il naît à Dijon en Bourgogne. Son père, Alphonse Richet, est chimiste et sa mère, née Caroline Despeux, est la fille d'un négociant en vins. Il passe son enfance à Dijon avant de poursuivre ses études à Paris à l'École normale supérieure.
Il obtient son doctorat en médecine en 1875 et devient maître de conférences à la Faculté de médecine de Strasbourg, où il est professeur de physiologie en 1883. Il est nommé professeur titulaire à la Sorbonne à Paris en 1890.
Ses travaux portent sur l'anaphylaxie, la régénération des tissus et les réactions chimiques dans le corps humain. Il découvre avec Camille Jordan la coagulation de l'albumine et il est l'un des premiers à émettre l'hypothèse que certains antigènes sont capables d'évoluer dans les cellules.
En 1902, il reçoit le prix Montyon de l'Académie française pour son ouvrage "La Vie". En 1913, il est récompensé par le prix Nobel de physiologie ou médicine avec Charles Richet et Henri Édouard Dalton pour leurs travaux sur la régénération des tissus.
Il meurt à Paris en 1935 à l'âge de 85 ans. Sa carrière scientifique, marquée par des découvertes importantes, a largement contribué au progrès de la médecine et de la physiologie.
