Bernard Stiegler est un philosophe français né le 1er janvier 1952 à Strasbourg et mort le 20 juillet 2020 à Paris. Il est connu pour ses travaux sur la technologie, la société de l'information, la culture, la mémoire humaine et la philosophie sociale.
Il a enseigné comme professeur d'anthropologie technique à l'École normale supérieure de Lyon et à l'Institut national des sciences appliquées (INSA) de Rennes. Il est également directeur du Centre de recherche et d'innovation socio-culturelles de l'École normale supérieure de Paris et président du Pole de recherche en épistémologie, anthropologie des savoirs et pratiques (PREAS).
En 2017, il est élu membre de l'Académie des technologies. Il est connu pour avoir critiqué la société de consommation et pour avoir développé une théorie du "dispositif technique-symbolique" qui explique les transformations des sociétés en fonction de leurs techniques de communication.
Bernard Stiegler a également publié de nombreux livres, notamment "La Mémoire courte" (1994), "La Technics et la Time" (2004-2005) et "La Loi du plus faible" (2013). Sa pensée est considérée comme une importante contribution à l'anthropologie technologique, à la philosophie de la technique et à la sociologie des technologies.
Il a enseigné comme professeur d'anthropologie technique à l'École normale supérieure de Lyon et à l'Institut national des sciences appliquées (INSA) de Rennes. Il est également directeur du Centre de recherche et d'innovation socio-culturelles de l'École normale supérieure de Paris et président du Pole de recherche en épistémologie, anthropologie des savoirs et pratiques (PREAS).
En 2017, il est élu membre de l'Académie des technologies. Il est connu pour avoir critiqué la société de consommation et pour avoir développé une théorie du "dispositif technique-symbolique" qui explique les transformations des sociétés en fonction de leurs techniques de communication.
Bernard Stiegler a également publié de nombreux livres, notamment "La Mémoire courte" (1994), "La Technics et la Time" (2004-2005) et "La Loi du plus faible" (2013). Sa pensée est considérée comme une importante contribution à l'anthropologie technologique, à la philosophie de la technique et à la sociologie des technologies.
