Nom de famille Abdi

Race et Ethnicité des personnes portant le nom de famille Abdi

L'identité ethnique associée au nom de famille Abdi a également subi des changements entre 2000 et 2010, selon les données du recensement décennal américain. En 2000, 61,74% des personnes portant ce nom de famille s'identifiaient comme noirs, et ce chiffre a augmenté à 89,70% en 2010, reflétant une croissance de 45,29%. Pendant ce temps, le pourcentage s'identifiant comme asiatique / insulaire du Pacifique a diminué de 2,92% à 2,00%, et ceux s'identifiant comme blancs ont diminué de 11,19% à 5,09%. Les données montrent également une diminution significative de ceux s'identifiant avec deux races ou plus ; il a chuté de 23,34% à 2,65%. De manière notable, de nouvelles représentations ont été enregistrées en 2010 : 0,47% se sont identifiés comme hispaniques et 0,09% comme indiens d'Amérique et natifs d'Alaska.

Composition ancestrale d'Abdi

NomOrigine calcule une répartition de l'ascendance pour chaque client. Les gens peuvent avoir une ascendance provenant d'une seule population ou ils peuvent avoir une ascendance provenant de plusieurs populations. L'ascendance la plus couramment observée chez les personnes portant le nom de famille Abdi est la Somalie, qui représente 66.7% de toute l'ascendance trouvée chez les personnes portant ce nom de famille. Les deux ascendances les plus courantes suivantes sont iranienne, caucasienne et mésopotamienne (13,9%) et éthiopienne & érythréenne (4,1%). D'autres ascendances incluent britannique & irlandaise, nord-indienne & pakistanaise, française & allemande, angolaise & congolaise, et sud-est africaine.

Prêt à en savoir plus sur votre ascendance? Obtenez la répartition d'ascendance la plus complète sur le marché en passant notre test ADN.

Votre lignée paternelle peut être liée aux Cham.

L'une des nombreuses populations abritant des membres de l'haplogroupe O1b1a1a1a1 est le groupe ethnique Cham, un groupe de personnes qui parlent des langues austronésiennes en Asie du Sud-Est continentale. Les langues austronésiennes constituent une famille de langues extrêmement large et répandue, comprenant plus de 350 millions de personnes sur des îles telles que Madagascar, l'Île de Pâques, et beaucoup d'autres. Cependant, les langues austronésiennes sont moins courantes sur le continent asiatique, avec une exception notable étant la langue chame. Des recherches suggèrent que les ancêtres du peuple Cham ont migré des îles de l'Asie du Sud-Est vers le continent vers l'an 500 avant J.-C., et que les premières populations Cham ont rapidement commencé à se mélanger avec les populations vietnamiennes indigènes du sud. En conséquence, la langue chame a maintenant des mots qui ont été empruntés aux langues parlées par les peuples indigènes vietnamiens. Il est probable qu'une population ancestrale Kinh était l'une des populations qui s'est mélangée avec les Cham peu de temps après leur migration vers l'Asie continentale.

Votre lignée maternelle peut être liée à des locuteurs de la famille de langues Bantou.

Il y a environ 5 000 ans, de nombreuses personnes en Afrique subsaharienne dépendaient toujours de la chasse, de la collecte et de la cueillette comme principaux moyens de collecte de nourriture. Mais cela allait bientôt changer. Les gens en Afrique de l'Ouest-Central ont commencé à expérimenter l'agriculture, cultivant les ignames, les légumineuses, les poivrons et les courges qui deviendraient des aliments de base du régime africain subsaharien. Ces personnes parlaient des langues appartenant à la famille des langues bantoues, et il y a environ 4 000 ans, elles ont commencé à se déplacer. D'abord, ils se dirigèrent vers l'est à travers la forêt tropicale centrale. Finalement, les descendants de ces migrants arrivèrent aux confins de l'Afrique australe. Plus tard, d'autres locuteurs bantous qui étaient restés en Afrique de l'Ouest ont également commencé à voyager le long de la côte occidentale. Au fur et à mesure de leurs voyages sur plusieurs siècles, ils ont déplacé et absorbé de nombreux autres groupes de chasseurs-cueilleurs qui vivaient déjà dans toute l'Afrique. Leurs connaissances agricoles et technologiques se sont également diffusées à d'autres groupes locaux. Ils se sont souvent mariés, adoptant parfois les pratiques culturelles locales des personnes qu'ils rencontraient. Les langues qu'ils ont apportées avec eux de leur patrie ancestrale se sont répandues dans toute l'Afrique subsaharienne, et aujourd'hui, la majorité des langues subsahariennes sont bantoues.